Centre de services scolaire
des Découvreurs
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Plaintes au regard des services que rend le CSSDD

Le traitement des plaintes comporte une possibilité de 3 étapes. Le respect des étapes est prescrit par la Loi sur le protecteur national de l’élève.  Si toutefois votre plainte vise des actes de violence à caractère sexuel, sachez que vous pouvez déposer votre plainte directement au Protecteur national de l’élève (étape 3).

Avant de procéder à une plainte, le parent ou tuteur-trice de l’élève est invité à discuter de la situation à l’origine de l’insatisfaction avec la personne concernée.  Par exemple, l’enseignant-e, le technicien-ne au service de garde, etc.  Ceci peut permettre de clarifier des incompréhensions et de régler rapidement la situation.

Synthèse – Règlement sur la procédure d’examen des plaintes formulées par les parents d’élèves mineurs et les élèves majeurs

Le Règlement sur la procédure d’examen des plaintes formulées par les parents d’élèves mineurs et les élèves majeurs prévoit qu’un élève majeur, ou ses parents s’il est mineur, peut formuler une plainte quant aux services offerts par le Centre de services scolaire des Découvreurs (ex. : disponibilité de service en psychologie) ou demander la révision d’une décision (ex. : classement d’un élève en classe spéciale).

À noter qu’en situation d’acte de violence à caractère sexuel, un élève ou l’un de ses parents peut s’adresser directement au protecteur régional de l’élève s’il le souhaite.

Faire un signalement

Un signalement, qui peut être fait par toute personne, n’est possible qu’en situation d’acte de violence à caractère sexuel[1] commis à l’endroit d’un élève qui fréquente un établissement d’enseignement.

Un tel signalement est effectué directement au protecteur régional de l’élève, sans avoir à passer par les deux premières étapes du processus, par :

  • une enseignante ou un enseignant
  • une professionnelle ou un professionnel œuvrant en milieu scolaire
  • une employée ou un employé membre de la direction d’un établissement d’enseignement
  • un autre élève ou l’un de ses parents

La personne signalante pourra choisir le mode de communication qui lui convient le mieux entre :

Les signalements sont traités de façon urgente. La confidentialité des renseignements identifiant la personne qui fait un signalement est préservée, sauf avec son consentement. Si requis par la loi, le protecteur régional de l’élève communique l’identité de cette personne au directeur de la protection de la jeunesse.

Le protecteur régional de l’élève peut aussi traiter un cas d’acte de violence à caractère sexuel de sa propre initiative.

[1] La violence à caractère sexuel est : « toute forme de violence commise par le biais de pratiques sexuelles ou en ciblant la sexualité, dont l’agression sexuelle. Cette notion s’entend également de toute autre inconduite qui se manifeste notamment par des gestes, paroles, comportements ou attitudes à connotation sexuelle non désirés, incluant celle relative aux diversités sexuelles ou de genre, exprimés directement ou indirectement, y compris par un moyen technologique. » Pour de plus amples renseignements sur les actes de violence à caractère sexuel, vous pouvez consulter la page du gouvernement du Québec sur les formes de violence.

Le Centre de services scolaire des Découvreurs publie ses annonces d’appels d’offres publics sur le babillard électronique officiel du gouvernement du Québec, le Système électronique d’appel d’offres (SÉAO).

Pour plus d’informations, appelez au 418 652-2121, poste 4197.

Depuis le 30 novembre 2024, les divulgations doivent se faire auprès du Protecteur du citoyen. Consultez cette page pour connaître les détails.

Vous pouvez aussi contacter la personne Responsable de la gestion de l’éthique et de l’intégrité au CSSDD. Cette personne a notamment pour rôle de renseigner les membres du personnel sur la possibilité d’effectuer une divulgation d’actes répréhensibles auprès du Protecteur du citoyen et de les informer de la protection contre les représailles prévue par la Loi sur la protection contre les représailles liées à la divulgation d’actes répréhensibles.